1 mars 2010
Tropiques du pauvre
La seule qui ait aujourd'hui un développement durable, c'est la crise. On n'en parle d'ailleurs presque plus, on fait avec. Alors pour calmer les envies d'exotisme, on serre les bourses et on s'adonne au tourisme de proximité.
Bien sûr, le pavillon tropical d'Océanopolis ne vaut pas une plongée en Mer Rouge. Mais tous comptes faits (et Dieu sait qu'on les fait !) il est bien plus hygiénique de voir ce spectacle aquatique au sec. Car comme chantait l'autre : la mer c'est dégueulasse les poissons baisent dedans. Et ils ne font pas que ça, ces salopiots ...
Biz à DLD pour les images
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